[17/11/03] - nuit réveil en urgence.

Janet ouvre les yeux dès que l'alarme retentit.
*La porte....encore.....mince.* Son bipper sonne, elle lâche la main de sa fille et le regarde.
*Blessé à la porte d'embarquement.* Elle entend l'équipe de garde arriver les yeux plein de sommeil mais prêts.

"On va à la porte." Elle prend sa malettre toujours prête sur le chariot d'urgence.

Salle d'embarquement

Salle d'embarquement

Janet file dans la salle ou l'attende déjà une équipe. A plusieurs ils translatent le capitaine.
"Je veux dans l'immédiat un dose de morphine, et ensuite on installe une seringue électrique." Tout le monde s'est mis au travail. Certains découpent son uniforme, d'autres préparent la seringue.
Janet examine ses pupilles et la coloration de sa peau.
"On le scope et le passe sous oxygène haut débit." Chacun obéit.

*Mais je peux rien faire pour lui, c'est de l'esbrouffe tout cela.*

"Capitaine c'est le docteur Frasier." Elle lui touche le bras non endommagé, pour etre sur qu'il sente sa main.

"Vous allez me trouve un truc pour soulager son dos, je ne veux pas qu'il y ait un contact entre sa brulûre et quoi que ce soit."

Elle allait continuer quand elle voit le général qui est là. Elle lui fait un signe négatif de la tête et va vers lui.

"Jack ne reste pas là. Il n'aimerait pas que tu le vois comme cela. Reste à côté si tu veux. Et je viens te chercher." Elle ferme le rideau devant son nez.

*Planté de l’autre coté du rideau par Frasier, le général regarde quelques instant le bout de toile qui le sépare de la scène.* 'Pourquoi elle me tutoie ? C’est pas la première fois que je perds un de mes hommes, ce n’est pas comme si c’était sam ou …'

*Il regarde le sol*
'Et maintenant, je fais quoi ? Ba’al a capturé Teal’c, je dois envoyer des gars récupérer les corps des deux autres. Mes autres équipes sont toujours sur …'

'De toute façon ici, je sers plus à rien et je ne suis pas dans les bonnes dispositions pour écrire une lettre sur une mort brave sur un faux théâtre d’opération.'
Je serai dans mon bureau.
*Il quitte l’infirmerie d’un pas dynamique qui ralenti dès qu’il a passé la porte.*
'Je suis parfaitement conscient que c’est moi qui les ai envoyé à la mort. Que ces gars me font confiance. Que je suis responsable de leur vie. Ta gueule jack ! Pense aux vivants, il sera temps plus tard pour les morts.'