[16-11-03] matin petit dej du général

'Un café, mes étoiles pour un café.'

*Jack vient d’arriver à la base et sa première halte est pour le mess.*
'Encore un WE de foutu. Teal’c est pas rentré. On a eu un problème au passage de la porte. '

*Son regard parcoure le mess quasi vide*
'Ah tient en voila une qui est revenue. Et ils sont déjà à nouveau en duo.
Bon je les laisse tranquille, elle viendra me voir plus tard si elle veut. Oh flute, c’est vrai, sam va me faire une crise parce qu’elle n’était pas au courant de cette histoire de procès et du départ de devnis.'

*Un long souffle s’échappe pendant qu’il se sert son café puis il va s’asseoir à une table quasiment de l’autre coté de la pièce par rapport à devnis et traivis.

Il fait lentement tourner la cuillère dans la tasse en grignotant un croissant.*
'Pour l'instant, elles doivent dormir. J'irai à l'infirmerie après voir comment elles vont et récuperer les dossiers'

*Un geste brusque vers la sortie pour voir qui l’appelle et O’Neill heurte la tasse pas encore finie qui se répand sur la table et finit par atteindre son uniforme.*
Et merde.
*Il s’essuie les mains puis essaie d’en faire autant sur ses affaires mais lève la tête.*

Bonjour colonel
Bien dormi ?
‘ridicule, tu es ridicule mon vieux’

Depuis hier ?

J’espère que ça ne vous a pas empêché de dormir.

Vous étiez fatiguées et votre journée intense en émotion et en tension nerveuse alors je vous ai envoyé vous reposer. Ce serait dommage que j’aie fait ça pour des prunes.

‘Comment je m’en sort sans qu’elle s’énerve ?’

Mon petit déjeuner étant abregé. Vous souhaitez prendre le votre ou qu’on aille discuter ailleurs ?

Bon carter, comme vous avez l’air de vouloir une réponse et que je ne suis pas dans votre tête.
‘Une bonne nuit de sommeil n’a pas suffi, l’histoire des vacances a l’air encore à vif.

Un terrain neutre’
Vous me suivez et vous me poserez cette question. On verra si je peux y répondre.

*O’Neill se lève, va poser son plateau puis se dirige vers la sortie avec un regard en arrière en attendant que carter le rejoigne.*
Si vous le permettez, je vais commencer par aller me changer