John Kelly

John venait d'être reconduit dans les appartements privées des invités. Il regarda l'heure sur sa montre et il se disait que c'était maintenant le matin. Par chance qu'il avait réussi à trouver le sommeil chez sa soeur avant son retour ici.

Ce fut donc sans force qu'il fut raccompagner dans les appartements. De toute façon, il n'avait aucun intérêt à résister, ayant besoin d'un peu de solitude pour méditer sur ce qui venait de se passer. La porte se ferma derrière lui et il alla s'étendre sur le lit qui semblait à peine confortable. Il s'étendit pour regarder le plafond, posant ses deux mains derrière la tête. Il se mit à penser, faisant rouler son cerveau sur ce qui venait de se passer. Plus il y pensait, plus il se rendit compte que John s'ignorait lui-même. Oui il y avait des fragment qui était revenu, mais il n'y avait rien qui parlait de son passé.

John se souvenait de quelques fragments de lui en soldat, mais avant cela, c'était le néant. D'ailleurs, les seuls contacts avec sa soeur était de lui en soldat, ce qui était très étrange selon cette dernière. Du coup, une image lui vint en tête: Cassandra. John n'avait toujours pas reçu de nouvelle de sa seule amie Terrienne.

Devant cette illusion, John se rassit sur le lit, ne tenant maintenant plus en place. Allait-elle bien, est-ce que l'opération avait réussi? Voilà des questions auxquels John voulait des réponses. Il voudrait tellement la serré dans ses bras, lui dire que tout va bien et que tout va s'arranger. MAis pour le moment, John était cloitré dans cet appartement.

John fut rassurer d'apprendre que Cassandra allait se porter mieux dans quelques jours. La mission accomplie sur sa planète n'aurait donc pas été un échec. Voilà une nouvelle qui était bonne pour John.

Par la suite, le garde posa une question à John sur ce qui s'était passé durant les 24 heures d'absence qu'il a eut. Il affirma que ce comportement était très suspicieux. C'est sans un mot que John regardait l'homme qui alla s'assoir à la table. John ne bougea pas, il ne fit pas un son, il regardait toujours le garde.

Il tourna les yeux vers la porte, mais se disait que la fuite ne mènerait à rien. Il regarda le garde, se disant qu'il pourrait lui prendre son arme. Mais au lieu de cela, John regarda à nouveau l'homme dans les yeux et il lui dit:

- Je ne pense pas que vous puissiez comprendre. Alors, dites au Dre. Frasier de venir me voir quand elle aura la temps. Non, qu'elle vienne le plus rapidement possible lorsqu'elle aura fini de soigner Cassandra

John ne bougea toujours pas et il regarda le garde, voir sa réaction. Il ajouta:

- SVP, ajoutez également au Dre. Frasier fille que je viendrais la voir le plus rapidement possible. Dès que vos suspicions seront éclairées, monsieur.

Cameron marchait dans les couloirs de la base en retard pour aller voir John, mais un dossier lui était tombé dessus l’obligeant à s'en charger, mais le retour de jack avait fait le tour de la base alors John déposa le dossier sur le bureau du Général :

*ça tombe bien, chacun pour sa peau, désolé jack, mais te laisse le dossier*
« Il rentre au bon moment c’est comme l’homme qui tombe à pic hé hé. »

Contant de s’être débarrassé du poste pour que Jack le reprenne, il se dirigea d’un pas rapide vers les appartements où Kelly était retenu et arrivât enfin devant celle-là. Il trouva la porte où les garde sont postés, s’y dirige tandis qu'ils se mettent au garde à vous :

« Bonjour messieurs. Repos. »

Entrant dans la salle, il pu voir un soldat assit et John qui venait de finir une phrase sur le fait qu’il ne pourrait pas comprendre puis une autre enfin. il signala sa présence à John.

« Bien le bonjour John, quant à vous merci de m’avoir remplacé mais j’ai pu me libérer. »

Sa voix était d’humeur bonne et son comportement dans sa gestuelle montrait un certain soulagement, certainement dû au retour de Jack.

mess

sam arriva au quartier des invités, elle vit deux gardes devant une porte qui se mirent au garde à vous quand elle arriva
" repos messieurs"
sam rentre dans la chambre et voit le colonel cameron et kelly
"messieurs"
dit elle en rentrant
" cameron pouvez vous aller en salle de briefing le général doit vous parler"
sam se retourna vers kelly
"ravis de vous revoir après votre fuite Kelly, le général voudra surement vous parler plus tard pour l'instant nous avons quelque chose de plus important"
dit elle en se retournant vers cameron pour lui faire comprendre qu'il n'était pas appelé en salle de briefing pour rien
" cameron vous venez ?"
dit elle en se dirigeant vers la sortie

A peine venait il d’arriver et de finir de parlé que Sam arriva a son tours dans la pièce, celle-ci l’invita à aller en salle de briefing, certainement donc jack avait quelque chose a lui dire.

*Pourtant j’ai pas fait de boulette, il me semble arf, on verra bien.*
Ainsi le temps de réfléchir à ce qu’il aurait pu faire de mal, Carter se retourne vers lui pour lui demander de venir, affichant un sourire vers elle, il acquiesce de la tête avant de se retourner vers John et le soldat encore présent :

« Bon bah, John notre discussion sera pour plus tard, je te laisse t’expliquer avec cette personne. »

Une fois sa phrase finie il avance vers la porte l’ouvre et part en direction de la salle de briefing, disant juste avant de quitter l’encadrement de la porte.

« Sam vous venez ou j’y vais seul ? »

sam suit cameron
"non je viens avec vous"
sam partit en direction de la salle de briefing
salle de briefing

John fut heureux de voir Cameron entrer dans la salle. Il allait lui répondre quand le Samantha entra à son tour pour lui demander de partir. John fut un peu déçu de voir les deux colonels partir. Mais bon, maintenant il allait pouvoir discuter avec son nouvel ami.

Voilà que ce dernier lui dit qu'il devait lui répondre et que c'était l'obligation de John de parler à cet homme et non au Dre. Frasier. John se passa une main dans le visage en soupirant. Il était tombé sur l'homme le plus entêté de la planète. Lui dire qu'il ne voulait pas répondre ne lui servirait à rien. Alors, John fixa l'homme un bon moment, toujours bien assis sur son lit. S'il pensait pouvoir avoir un doctorat en psychologie et comprendre ce qui se passait dans la tête d'un amnésique, il s'était trompé de branche en devenant soldat.

Finalement, John se laissa tomber sur le lit et il mit ses deux mains derrière la tête pour regarder le plafond. Il ferma les yeux mais ne s'endormit pas.

*Après un léger débrief auprès du garde devant la porte, le général entre dans la pièce sur ses gardes. L’homme est allongé alors jack prend une chaise et se place à distance près de la porte.*
'On va voir s’il continue à jouer les têtes de mule ou s’il veut faire le mariole avec moi.'

*Il étire ses bras, fait travailler un peu ses épaules, au cas ou, puis décide de se lancer.*
J’ai trois visiteurs qui me disent que vous êtes programmé et qui souhaitent sans doute récupérer leur jouet.

'Voyons voir sa version des choses et pourquoi il a foutu mes femmes en danger.'
Vous avez quelques minutes pour me donner une raison de ne pas le faire.

John s'ouvrit les yeux rapidement lorsqu'il entendit la voix grave du général. Il le regarda et il se leva rapidement en signe de politesse. C'était l'homme que John avait vu lorsque Cameroun avait passé la porte des étoiles. À voir son attitute, il s'agissait d'un haut gradé.

John écoutait les commentaires, plutôt les question que le général lui demandait. Trois visiteurs? Il y avait donc des survivants à l'attaque? Programmé? Mais à faire quoi bon Dieu? John n'en avait absolument aucune idée.

Il se rassit tranquillement, tout en pensant à quoi répondre. De toute évidence, le général n'était pas du coté de John. Ce dernier se passa une main sur la bouche pour s'aider à réfléchir. Il finit par dire:

- Je ne peux rien dire pour vous convaincre général, c'est mal parole contre la leur. Mais tout ce que je peux vous dire c'est que croyez-vous qu'il soit justifié pour une population de ''programmer'' des êtres humains pour se servir d'armes?

John croyait qu'il était plus important de mettre l'enphase sur le fait qu'il était un humain et qu'il avait été torturé pour mettre cet implant, plutôt que d'affirmer qu'il ne voulait pas retourné là-bas. Il regarda le général avant d'ajouter:

- Croyez-vous qu'il est justifiable de leur part de demander leur arme en retour? Que vous ont-ils promis en retour, nous n'avons plus de gouvernement, plus de planète, plus rien...

'Non, c’est pas le genre de la maison de programmer les gens mais je dois savoir comment ça tourne dans votre tête alors autant que je vous laisse douter pour savoir ce qu’il y a la dedans.'
Vous me parlez de parole et quand le docteur frasier a demandé à ce que vous l’assistiez sur une mission, vous avez choisi de vous éclipser sans prévenir. Vous voulez que je vous fasse confiance ?

'Il se considère comme une arme ? A quel point peut il être dangereux pour nous si on lui permet de rester ici et qu’est ce qui empêcherait qu’il soit contrôlé par d’autres contre nous.'

*Jack affiche un leger sourire narquois de façade propre à agacer même les goa’ulds avant de lancer.*
On dirait que la mémoire vous revient puisque vous savez qu’il n’y a plus de gouvernement sur cette planète. Mais au vu de votre réaction, vous n’étiez pas complètement volontaire pour cette programmation. Pour l’instant jonas leur ai dit que nous ne savions pas ou vous étiez alors expliquez moi votre version des faits.

John se leva tranquillement lorsque le général lui parla du docteure Frasier. C'était vrai que John avait insisté pour la mission... et c'était également vrai qu'il avait abandonné ses coéquipières. Il dit:

- J'ai insisté pour faire parti de cette mission car Cassandra était en péril. Je ne sais pas si vous le savez, général, mais mis à part la famille Frasier, je n'ai trouvé qu'hostilité et dégoût depuis mon arrivée ici.

John se rassit tranquillement, de la même vitesse à laquelle il s'était levé. Il n'avait pas l'air agressif. Il ajouta:

- Et puis d'ailleurs, je vous ferai remarqué que j'ai abandonné l'équipement seulement une fois qu'elles avaient toutes passées la porte.

En disant cela, John faisait remarqué qu'il n'avait jamais été hostile envers le SGC.

John écoutait ce que le général lui ajouta. Est-ce que John avait la mémoire qui revenait... c'était vrai en partie. Mais part contre, John ne pouvait toujours pas expliqué comment il avait arrivé ici. Tout était part bride, mais rien de bien concret. Il s'éclaircit donc la voix avant de dire:

- Général O'Neill, si je sais qu'il n'y a plus de gouvernement sur ma planète, c'est parce que quelqu'un me l'a dit...

Peut-être que John ne pouvait pas expliqué comment il était arrivé ici, mais pour le moment, il pouvait expliqué ce qu'il avait fait durant son absence:

- Depuis mon arrivé ici, je fais des cauchemars. Certains doivent être vrais, et d'autres faux. Par contre, dans la plupart de mes rêves, il y avait une femme qui revenait me hanter. C'était devenu si fort qu'elle apparaissait en plein jour.

John se rappellait de l'avoir vu durant sa mission avec les femmes du SGC:

- Enfin bref, durant un rêve, cette femme me montra des coordonnées. J'ai donc saisi la chance de les essayer durant que je n'étais pas dans votre base, pour éviter un piège et que les ennemis pouvaient retracer le vortex.

Au fond, la principale erreur que John voyait c'était d'en avoir parlé à personne. Grave erreur selon certain:

- J'ai finalement retrouver cette femme. Il s'agissait de ma soeur. Présentement, elle aide notre peuple qui a été terassé par ceux que je sers présentement, c'est-à-dire que les scientifiques qui sont ici en savent beaucoup plus qu'ils le prétendent. Demandez-leur de vous parler du Site Blanc, regardez-bien leur visage quand vous direz ce nom.

'Qu’hostilité et dégout ? Mais il nous joue les misérables. Ça m’étonnerait de carter et de mitchell qui sont passés le voir et s’il a été en mission avec elles, elles ne m’ont pas mentionné de remarque le concernant hormis qu’il s’est barré sans prévenir.
Il a des visions en plus d’être amnésique. L’effet d’avoir une puce dans la tête sans doute. Pas très au point leur technologie ? Sa sœur ?

Donc il y a sur une planète un peuple qui a été attaqué par celui dont nous avons récupéré trois représentants et qui se sont fait attaquer à leur tour par les goa’ulds.
Bien, j’avais une histoire de site alpha par jonas et maintenant un site blanc.'

*Tout content de lui, jack laisse échapper un sourire.*
'Je vais finir par savoir les choses. Qu’est ce qu’il faut pas faire.'
*Il se lève et va jusqu’à la porte avant de se retourner.*

Si vous avez été voir votre peuple et votre sœur et qu’ils ont besoin d’aide, préparez moi une liste de ce qu’il leur faudrait et on vous enverra avec une équipe de secours.

*Il tapote du bout des doigts sur le montant de la porte jusqu'à capter l’attention de john kelly et continue en lui affichant un visage franc et sans aucune animosité.*
On a rien contre vous john. Jouez franc jeu et tout se passera bien.

*Puis il change de ton.* Si par contre vous nuisez ou faites du mal à l’un de mes hommes, ça n’ira pas. Compris.
*Après un hochement de tête pour appuyer cette dernière affirmation il reprend son air de gamin qui prépare une bonne farce.*
Bon je vous laisse, il faut que j’aille asticoter ces scientifiques qui bricolent dans la tête des gens.

*Le général entre sans frapper dans la pièce ou est « hébergé » john Kelly si c’est bien son vrai nom et qui ne dors surement que d’un œil si c’est un soldat.*

Pas la peine de vous lever. J’en ai pour cinq minutes.
*Jack s’assoit sur une chaise disponible, prend son souffle,se calme avant d’entamer.*

J’ai une équipe avec le colonel Carter et le capitaine hailey avec qui vous avez effectué une mission pour cassandra qui se trouve aux
prises avec des goa’ulds.Je manque de personnel pour l’instant et je veux envoyer une équipe de secours.C’est le colonel O’Connor qui commandera et si vous lui faites faux bond ou qu’il vous sent pas, il vous descendra plutôt que prendre un risque.
'Au moins je lui dit les choses telles qu’elles sont.'
Ce sera dangereux, il n’y a rien qui vous oblige à nous aider mais si vous êtes d’accord, vous vous levez et vous me suivez, le départ est dans une heure.

*Ayant fini sa tirade, le général laisse planer le silence en attendant une réaction dans le silence de la pièce.*
'S’il hésite trop faudra se méfier mais on verra bien ses conditions.'

John n'avait que tourné la tête en voyant entrer le général. Un peu en signe de révolte d'avoir été enfermé si longtemps sans raison, John regarda la plafond alors que le général parla. Il lui dit qu'une équipe de SGC était en danger aux mains des goa'ulds. Qui était ces goa'ulds? Peu importe, les deux femmes étaient en danger, c'était tout ce qu'il y avait de plus important.

Alors que le général avait fini de parler, John réfléchit à son tour. Un mal de tête arriva. John passa sa main sur son visage pour faire partir cette douleur. Une autre migraine qui ne finissait pas. Cette maudite pièce dans sa tête ne faisant qu'empirer les choses.

Finalement, en guise de réponse, John se leva, tel un robot, lentement. Une fois debout, John regarda ses deux mains qui pendaient au bout de ses bras. Il serra les poings et les doigts craquèrent. Il leva les yeux pour regarder le général et il inclina lentement la tête en signe affirmatif. Le reste des choses dépendraient des Terriens maintenant.

'C’est bon, il est partant. Je vais au moins avoir un type aguerri de plus dans cette mission.'

*Jack observe les signes de douleur, la contraction du visage, ces petits détails qui diffèrent d’un réveil difficile ordinaire.*
On vous enlèvera ça à votre retour si vous le souhaitez.

'Maintenant, le préparer et informer ben.'
*Il se lève et commence à se diriger vers la porte qu’il ouvre.*
'Faut quand même que je lui dise.'
L’aide que je vous ai proposé hier pour votre sœur et les autres gens de votre peuple tient toujours. Même si vous aviez refusé de m’aider
sur ce coup là, on vous l’aurait proposé.

*Jack regarde toujours vers le couloir en disant ces phrases puis avance à nouveau en laissant la porte grande ouverte dès qu’il entend les premiers pas de john Kelly.*

John fit signe de non de la tête pour enlever cette puce. Bien qu'elle lui donnait beaucoup de mots de tête, cette puce lui était très utile pour faire ce qu'il devait faire. Quand le général sortit finalement de la porte, John le suivait. Il sortit de la chambre pour atteindre le corridor. Le voilà enfin libéré de cette pièce infernale. Mais étrangement, John regardait le soldat à la sortie de la pièce et il ne ressentait aucune haine ou aucune rancune envers les hommes du SGC. N'avait-il pas été bien traité?

Qu'importe, maintenant John devait aller aider les Terriens à sauver un groupe de gens coincés dans les griffes des goa'ulds. Un ennemi que John allait revoir à nouveau, s'il s'agissait bien de ceux qu'il avait vu sur la planète de Cassandra.

Silencieux, John suivait le général dans les corridors du SGC. Où allait-il? À la salle de débarquement? Non, John n'avait toujours pas de tenu de combat et il n'avait pas d'arme. C'est bien beau vouloir sauver des soldats, mais encore fallait-il être en mesure de pouvoir les attaquer.

Et puis, il passa devant l'infirmerie. John ralentit le pas pour regarder à l'intérieur. Il ne vit pas Cassandra, ce qui le désola un peu. Soucieux, il s'éclaircit la voix pour demander:

- Général, avez-vous des nouvelles de Cassandra Frasier? Comment se porte-t-elle?

John continuait de marcher mais il aimerait beaucoup avoir une réponse à propos de la jeune femme.