[17-11-03/ Début de soirée] fin incident salle de commande

*Jack pris par ses soucis à propos de la porte et des risques qu’il fait prendre à ses équipe cherchait une activité qui lui occupe l’esprit sans trop de complexité mais que ce soit l’affaire john kelly, l’installation de la petite qui est en fait sa petite fille, tout le place dans une situation complexe qu’il cherche temporairement à fuir mais il à levé la tête à la mention de son grade.*
'Devnis ? Non pas Devnis, manners. Caithleen manners'

OUI ?
'On est opérationnel et la porte fonctionnera s’ils reviennent.
Oui, merci mon dieu. Faudra que je remercie cette tête de pioche de McKay. '
*Un réel soulagement se voit sur son visage et dans son attitude avant qu’il lui dise*
Merci major.

*Il allait la congédier avec un sourire quand il retient son geste.*
Major ?
*Il semble hésitant*
Vous voulez bien rester cinq minutes avant d’aller retrouver votre fille.
Je souhaite qu’on parle d’hier soir. De ce qui s’est passé.

En entendant le "Merci Major", elle sourit et se dit que finalement il va la laisser partir. Elle a déjà tourné le dos quand elle l'entend reprononcer son grade mais cette fois avec une intonation interrogative. Elle arrête son geste avec une légère grimace et se retourne face à lui avec un visage neutre.

"Oui, mon général ?".

Elle écoute la requête et panique intérieurement mais rien de visible.
*Hier?.. vous voulez dire quand vous m'avez accusé de vous torturer ou quand vous avez jeté ce pauvre pot de crayon contre le mur?...*

Elle hoche simplement la tête et se rapproche du bureau mais ne s'assoie pas. Elle reste droite comme un i ne quittant pas l'habit militaire. Elle avait tenté la veille et il lui avait fait mal, très mal, pas question qu'il recommence.

"Sur quoi voulez vous revenir, mon Général?"

Je voudrais
*Il ne semble pas savoir par ou commencer, chercher ses mots*
Je voudrai revenir sur ce qui s’est passé hier dans ce bureau, je voudrai..
'Oui, je voudrai, je voudrai quoi, faire comme si rien ne s’était passé ? Faire comme si tout était normal ? Etre capable de comprendre ce que ça m’a fait ? Savoir pourquoi ?'

Excusez-moi pour hier. J’étais pas prêt à apprendre une telle nouvelle.
*Juste après avoir laissé sortir cette phrase, il regarde les papiers sur son bureau comme si c’était important puis tapote du bout des doigts avant de relever la tête pour la regarder.*
Qu’est ce qu’on fait maintenant ?
'Sois plus clair.'
Est-ce que vous voulez rester au SGC ?

Elle le regarde hésiter en froncant les sourcils. Cette attitude ne lui est pas familière, lui qui est toujours si droit et si prompt à répondre à une situation semble perdu... En fait, il lui semble aussi perdu que la veille comme si rien n'avait avancé...

Elle reste debout écoutant ses excuses avec soulagement mais sans quitter cette carapace froide de militaire endurcie.
'Pas prêt?... Parce que moi j'étais peut être prête à vous le dire?... '
Une question, elle fronce les sourcils. Pour elle aussi la situation est complexe et elle ne sait pas comment la gérer alors quoi faire... Puis il se reprend mais la question suivante la surprend réellement.

Pardon?... Bien sur que je veux rester ici... Sinon je serais partie sans rien dire et j'aurais jamais demandé la permission d'amener Jenny..même si là j'ai fais une grosse erreur....

Le début est sur un ton choqué, elle se défend mais la fin est un simple murmure.
Elle retrouve sa stature froide et poursuit.

Mais maintenant si vous voulez mon départ, je peux le comprendre et dans ce cas je retournerais aux services du Président...

Un vague sentiment de soulagement passe sur son visage en entendant qu'elle peut rester. Puis la question qui suit laisse un léger silence entr eux comme si ele faisait la liste et cherchait un moyen de bien la présenter.

"En premier lieu, il y a le président. C'est lui qui vous a identifié sur la photo avec ma mère. Ensuite Brian qui vous a immédiatement reconnu en vous voyant. Frasier, à qui les test ADN d'entrée au SGC ont tout révélé et en dernier lieu Charlie qui a été élevé avec mon double dans sa dimension. Ils sont donc au nombre de 4 mon Général."

Elle laisse son regard dériver malgré elle sur Jack. Là tout de suite, elle aimerait être dans sa tête, comprendre ses pensées, mais il est encore pire qu'elle et rien à par sa gène du moment ne transperce.
Le passage au tutoiement la surprend mais elle ne change pas d'attitude pour autant.

" Je ne sais pas... C'est aussi à vous de choisir. Le secret est bien gardé et peut le rester si vous le désirez. Vous pouvez aussi faire une annonce générale, je ne vous en empêcherais pas... "
*Par contre dans le cas de la seconde il va falloir que je parle rapidement à certaines personnes à leur retour de mission.*

Le président !
*Jack s’est redressé dans son fauteuil et regarde le plafond avant de fermer les yeux avec une grimace.*
'Le président est au courant ! Ce politicard le sait !

Avec ça il me tient par les couilles ce salopard. Et en plus je viens de lui demander de faire vivre sur une base militaire à titre exceptionnel ma propre petite fille. Jamais on pourra croire que je n’en savais rien. Il me tient.
Bon, traivis, lui ça a du bien le faire marrer dans mon dos.
Janet, elle a le secret médical pour elle et l’autre'

On peut rajouter carter depuis ce matin. Je lui en ai parlé quand elle est venue me relever.

Pour le reste, c’est à toi de choisir, c’est ton secret.
Y compris en ce qui concerne la petite, je ne pense pas qu’une annonce générale soit indiquée, cette gamine vit déjà une situation suffisamment compliquée
*Jack plisse les lèvres et regarde caithleen en lui proposant de faire ces choix*

La jeune femme continue de regarder droit devant elle au dessus de la tête de son Général s'arrangeant pour ne jamais croiser son regard.
*Carter?... le relever?... qu'a-t-il fait?..."

Puis il enchaîne lui laissant entièrement le choix.
*à moi de choisir? mon secret? mais....*

"Ce n'est pas MON secret mais celui de ma mère. Je ne savais même pas que vous travailliez ici avant de venir... Et pour être honnête, si je n'avais pas eu l'ordre de rester, je crois que je serais partie en courant."

Elle quitte soudainement sa pose militaire pour se passer une main dans les cheveux. Elle sait qu'elle a fait une erreur en demandant la venue de Jenny mais elle n'en pouvait plus d'être séparée d'elle. Elle a agit en pure égoiste mais n'aime pas qu'on le lui rappelle. Elle se décale et lui tourne le dos pour observer la salle de briefing.

"Faîtes comme bon vous semble... De toute façon les principaux concernés sont actuellement sur le terrain et ont d'autres chat à fouetter que ma généalogie."

Un léger souffle d'air passe entre ses lèvres, elle regarde la porte priant pour que cet entretient se termine et qu'elle puisse partir loin... Elle n'a jamais été très douée avec ça... Sa mère était la seule à savoir la prendre et aujourd'hui Brian est le seul a en être le plus proche.

'Catherine ? Oui c’est sa décision mais c’est bien toi qui de nous deux à été la première à savoir et qui a choisi quand et à qui le dire jusqu'à maintenant.

Sans l’ordre de rester, elle serait partie en courant ? Elle n'est pas bien ici ou elle a peur de moi en fait. Elle n'est pas heureuse ici.

C’est donc le président qui me piège. Allez savoir quelle contrepartie il pourra me réclamer avec un coup comme celui-là.

Et voila, elle me tourne le dos maintenant.'
Non je ne fais pas comme bon me semble, on est deux voire trois dans l’affaire et tu as deux voix pour toi. Il faut tenir compte de l'interet de la petite.
'A quoi ça sert que je lui parle si elle me tourne le dos'

*Le général se lève et va s’asseoir sur son bureau du coté du major.*
'Qu’est ce que je peux faire ? Comment veux tu que je redevienne père après vingt six ans sans le savoir ? '
*Secoue la main face aux reflets dans la vitre avant de baisser la tête vers le sol.* Hou hou, je suis là.

*toujours tête baissée comme un gamin coupable qui attend la punition*
C’est quoi ma place dans ta vie. Tu me révèles que je suis ton père mais qu’est ce que tu attends de moi caithleen ? Qu'est ce que je dois faire ?

Un léger silence s'installe qui la met encore plus mal à l'aise. Puis il reprend la parole lui annoncant qu'il refuse de prendre cette décision seul.

"Elle, elle a besoin de savoir, besoin de vous connaître ... C'est certain... Et autant profiter du fait qu'elle est ici pour le moment"

Elle se retourne face à lui avec un semi-sourire, semi-grimace de la situation. La question qui suit est difficile, elle même ne sait pas ce qu'elle attend, ce qu'elle veux alors l'exprimer....
Elle s'installe comme lui prenant appuis sur le bureau un peu plus loin.

"J'en sais rien... Je n'ai jamais eu de père... Je voulais simplement vous connaître savoir qui vous étiez, pourquoi ma mère vous aimait tant.... Mais aujourd'hui je sais pas ce que j'attend de vous... Rien de particulier, je crois..."

Elle aussi baisse la tête et se concentre sur ses rangers.
*On ne se connait pas et on remplacera jamais cette séparation qui m'a vu grandir sans toi... Je suis en train de regretter de t'avoir devancé.. J'aurais peut être jamais dû ...*

Vu la tension actuelle, je préfère ne pas passer la voir avant que les autres soient revenus de cette mission. Ce serait dommage qu’on fasse connaissance dans de mauvaises circonstances et qu’elle ait peur de moi. Je pense qu’il faut d’abord qu’elle s’habitue à vivre ici et qu’elle me connaisse ou sache qui je suis avant de lui …en fait j’en sais rien.

*Laisse deux secondes de blanc*
Tu vois, on est deux qui n’en savent rien. C’est une situation nouvelle pour nous et on sait plus quoi faire ou comment s’adapter.

*Il tourne la tête vers elle et se redresse*
Jonathan O’Neill mais on m’appelle toujours jack o’neill, je suis général de cette base.

J’ai connu catherine manners avant ta naissance. Nous étions heureux et tu en es la preuve sauf qu’elle ne m’a jamais averti de ton existence et qu’elle a choisi qu’on se sépare avant ta naissance.
Je me suis marié des années après avec une femme du nom de sara et nous avons eu un fils charlie qui est décédé. On m’a affecté au SGC et à la première mission SG1 parce que j’étais le seul haut gradé assez fou 'ou suicidaire' et apte au combat pour prendre le risque de passer cette porte. Je pense que tu connais un peu mon dossier pour le reste.

Ah si, ça fait vingt quatre heures que je suis père et grand père en plus de mon rôle de chef ici

Je comprend....

Elle se sent mal à l'aise en entendant que lui aussi ne sait pas quoi faire de la situation. Elle le regarde se redresser et écoute son speech avec un léger sourire. Une fois qu'il a finit, elle se redresse à son tour et reprend sur le même ton.

"Je suis le cap.. Major, moi aussi j'ai du mal à me faire à ce grade, je disais donc je suis le Major Caithleen Manners. Elevée par une mère aimante et très gentille. Elle était encore folle de mon père malgré ses dires car aucun homme n'a pu prendre sa place ensuite. Des études simples et faciles. Et puis le drame... Je perd la seule personne qui constitue tout mon univers j'ai alors 18 ans... Je décide dons de retrouver le seul être qui à part moi semble avoir compté dans sa vie.
J'entre à l'académie et y fait mes études, je passe les détails ennuyants.. Je me fais rapidement remarquer par mes résultats et intègre un cursus spécial."

Elle le regarde puis baisse la tête.

"La suite Vous... tu la connais c'est dans mon dossier... enquêtes secrètes, procès, président et ma venue ici..."

Elle relève la tête et affiche un sourire qui atteint enfin son regard.

"Je suis heureuse de t'avoir retrouvé et surtout de connaître l'homme qui avait fait chavirer ma mère à ce point..."
*Il est vraiment meilleur qu'hier... Je suppose qu'il fallait ça pour qu'il encaisse la nouvelle*

'Bon, j’arrive à débloquer la situation, c’est déjà pas mal.

Elle m’aimait mais elle est parti alors pour un homme qui l’aurait fait chavirer, j’ai plutôt ressenti son absence. Je l’aurai pas laisser me quitter si j’avais su pourquoi et … De toute façon, catherine me répondra pas et c’est pas à caithleen de subir ça.'
Je …je suis content que tu me l’ais dit plutôt que de partir d’ici sans que je le sache.

Je peux pas dire que j’étais prêt et que ce n’est pas un choc mais je préfère le savoir maintenant.
*Jack regarde le mur en face de lui.*

Bon, dans la base et jusqu’à ce que ce soit connu de tous, pour l’instant je suis ton général quand il y a du monde et si tu veux me voir pour autre chose et bien c’est comme avant en fait.

*Il pose ses mains sur le rebord du bureau qu’il attrape avant de tourner son regard vers elle.*
J’aurai plein de choses à te demander et surement des questions auxquelles répondre mais on ne va pas rattraper vingt six ans comme ça et puis ta fille va se demander ou tu es passée.
‘et moi, je dois m’occuper d’un amnésique et d’une équipe de visiteurs bizarre’

Un léger sourire s'installe sur les lèvres de la jeune femme.
*Il m'accepte... *
Le fait qu'il soit content la touche. Elle a l'impression que leur relation ne pourra être que bonne maintenant...

"C'est compris... Ne t'inquiètes pas... "

Elle se remet droite à côté du bureau et le laisse terminer.

"Je reste aussi à ta disposition pour toutes questions... Aussi bien sur ma mère que sur moi."

Elle hoche la tête en l'entendant dire qu'elle doit rejoindre sa fille.

"Tu as raison, à l'heure actuelle, elle doit avoir mis tout le personnel médical à ses pieds la chipie... Et je ne suis même pas sûre que Janet ai pu lui faire sa piqure. Elle est un peu comme toi, elle aime pas les blouses blanches."

Elle fait un grand sourire à cette phrase et se dirige vers la sortie du bureau.

"Bonne soirée, mon Général..."
Elle ouvre la porte et sort.

Infirmerie.

Bonne soirée …major

*Il lève les yeux au plafond et soupire soulagé.*
'Ça aurait pu être pire. Faut encore qu’elles se croisent avec sam et je saurai si on va s’en sortir comme ça ou pas. Après, il va être temps de faire connaissance avec des années de retard.

Bon. Mes équipes ne sont pas rentrées alors dormir, je n’y pense même pas. Occupons nous du machin que jonas m’avait filé sur l’autre inconnu.'
*Le général s’assoit à son bureau et écoute l’enregistrement que lui a transmis le kelownien.*

‘Manipulation mentale, conditionnement, reprogrammation…ce n’est pas des anges mais des mengele qu’on a sauvé ou quoi ? Va falloir que je tire ça au clair pour savoir si ce sont des alliés potentiels ou un danger déguisé.
Commençons par ce crétin qui nous a fait faux bond en revenant d’une mission ou elles comptaient sur lui pour leur sécurité.’

*Se lève et sort de son bureau en direction du quartier des invités*